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► Bientôt, la place Barthelon se fera une jeunesse !
►Article paru dans LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ du lundi 11 mars 2024 (Bernard Brabant)
Que s’est-il passé il y a 100 ans ?
À Baratier, on se met enfin d’accord sur l’emplacement du monument aux morts. À Embrun, on organise un bal qui fortifie les muscles et le moral. Des publicités prennent soin de notre santé et de notre portefeuille. Voilà ce que l’on peut lire dans l’hebdomadaire embrunais La Durance en mars 1924
En mars 1924, La Durance rapporte que les chefs de famille, convoqués par le maire, se sont enfin mis d’accord sur l’emplacement du monument aux morts. Photo Le DL/B.B.
Il y a 100 ans, dans l’hebdomadaire La Durance un article nous apprend que le maire de Baratier, Monsieur Blanc, a convoqué les chefs de famille de la commune. Les 32 membres présents lors de la réunion qui s’est déroulée fin février se sont mis d’accord sur l’emplacement du monument aux morts et ont ouvert une souscription.
►Un bal de village “pas une copie maladroite des dancings jazz-bandesques des grands centres”
À Paris, les délégués anglais, belges, hollandais et français se rencontrent pour décider de la date du passage à l’heure d’été. Ce sera la nuit du 29 au 30 mars. Tous les pays sont d’accord… sauf l’Angleterre qui changera d’heure au mois d’avril.
Mardi gras, tombe un 4 mars. À cette occasion, l’Union sportive embrunaise organise un bal masqué. “Il sera l’exemple de ces plaisirs sains et familiaux, comme en connaissent encore nos petites villes, et non pas […] une copie maladroite des dancings jazz-bandesques des grands centres”, se réjouit le journal. Car c’est un bal “où l’on se sent heureux d’être homme, d’être français, d’être provincial. […] Non seulement les danseurs fortifieront leurs muscles et leur moral, mais ils aideront les jeunes embrunais à devenir robustes.” Rien que ça.
Il n’y a pas que le bal, qui est bon pour la santé. “Voulez-vous avoir le sourire ? Le teint frais ? Le sang pur ? Prenez deux ou trois fois par semaine, le soir en vous couchant, une infusion de thé des moines de Boscodon.” Voilà ce que promet le pharmacien embrunais Masson dans une publicité. Le nom qu’il a donné à sa boisson tient du conte d’apothicaire : à cette époque, dans l’ancienne abbaye délabrée, il n’y avait pas plus de moines que de théiers.
Dans une autre publicité, “l’éminent spécialiste de Paris en prothèse oculaire et auriculaire, M. Daumont” promet de faire entendre les plus sourds. “Après un examen minutieux et mathématique”, il peut vous rendre la vue normale. “Il sera présent à l’Hôtel des négociants le 29 mars.”
Une autre publicité annonce qu’on peut nous acheter des peaux d’écureuils bien séchées et tendues. Voilà une façon bien cruelle de se servir d’un écureuil pour mettre de l’argent de côté. C’était avant la Caisse d’épargne.
On peut consulter La Durance en ligne sur le site des Archives départementales des Hautes-Alpes.
►Article paru dans LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ du lundi 11 mars 2024 (Bernard Brabant)
Que s’est-il passé il y a 100 ans ?
À Baratier, on se met enfin d’accord sur l’emplacement du monument aux morts. À Embrun, on organise un bal qui fortifie les muscles et le moral. Des publicités prennent soin de notre santé et de notre portefeuille. Voilà ce que l’on peut lire dans l’hebdomadaire embrunais La Durance en mars 1924
En mars 1924, La Durance rapporte que les chefs de famille, convoqués par le maire, se sont enfin mis d’accord sur l’emplacement du monument aux morts. Photo Le DL/B.B.
Il y a 100 ans, dans l’hebdomadaire La Durance un article nous apprend que le maire de Baratier, Monsieur Blanc, a convoqué les chefs de famille de la commune. Les 32 membres présents lors de la réunion qui s’est déroulée fin février se sont mis d’accord sur l’emplacement du monument aux morts et ont ouvert une souscription.
►Un bal de village “pas une copie maladroite des dancings jazz-bandesques des grands centres”
À Paris, les délégués anglais, belges, hollandais et français se rencontrent pour décider de la date du passage à l’heure d’été. Ce sera la nuit du 29 au 30 mars. Tous les pays sont d’accord… sauf l’Angleterre qui changera d’heure au mois d’avril.
Mardi gras, tombe un 4 mars. À cette occasion, l’Union sportive embrunaise organise un bal masqué. “Il sera l’exemple de ces plaisirs sains et familiaux, comme en connaissent encore nos petites villes, et non pas […] une copie maladroite des dancings jazz-bandesques des grands centres”, se réjouit le journal. Car c’est un bal “où l’on se sent heureux d’être homme, d’être français, d’être provincial. […] Non seulement les danseurs fortifieront leurs muscles et leur moral, mais ils aideront les jeunes embrunais à devenir robustes.” Rien que ça.
Il n’y a pas que le bal, qui est bon pour la santé. “Voulez-vous avoir le sourire ? Le teint frais ? Le sang pur ? Prenez deux ou trois fois par semaine, le soir en vous couchant, une infusion de thé des moines de Boscodon.” Voilà ce que promet le pharmacien embrunais Masson dans une publicité. Le nom qu’il a donné à sa boisson tient du conte d’apothicaire : à cette époque, dans l’ancienne abbaye délabrée, il n’y avait pas plus de moines que de théiers.
Dans une autre publicité, “l’éminent spécialiste de Paris en prothèse oculaire et auriculaire, M. Daumont” promet de faire entendre les plus sourds. “Après un examen minutieux et mathématique”, il peut vous rendre la vue normale. “Il sera présent à l’Hôtel des négociants le 29 mars.”
Une autre publicité annonce qu’on peut nous acheter des peaux d’écureuils bien séchées et tendues. Voilà une façon bien cruelle de se servir d’un écureuil pour mettre de l’argent de côté. C’était avant la Caisse d’épargne.
On peut consulter La Durance en ligne sur le site des Archives départementales des Hautes-Alpes.
►Article paru dans LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ du Dimanche 18 février 2024 (Bernard Brabant)
Quand les grossesses finissaient en “infanticide” ou “suppression d’enfant”
Que ce soit devant une cour d’assises pour “infanticide” ou un tribunal correctionnel pour “suppression d’enfant”, l’accusée était jugée par des hommes. Dessin Bernard Brabant
Alors que l’on va inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, il est utile de rappeler ces drames qui défrayaient régulièrement la chronique, notamment au XIXe siècle.
Quand il pose un plancher au château de Picomtal des Crottes (l’ancien nom de Crots), Joachim Martin écrit au crayon ses souvenirs au dos des lattes : “En 1868, je passais à minuit devant la porte d’une écurie. J’entendis des gémissements. C’était la concubine d’un de mes grands camarades [qui] accouchait ”. Il s’agit d’un accouchement clandestin suivi d’un infanticide commis par le concubin. Ce n’est pas son premier crime, précise le menuisier : “Quatre [enfants] sont enterrés au dit écurie ”.
Ces accouchements non désirés, à la suite d’une grossesse cachée, se font souvent dans la solitude.
L’hebdomadaire de l’époque La Durance relate lui aussi ces drames. Élisabeth Hermitte est une jeune domestique de 19 ans, à Chorges. Elle avoue aux juges, en 1886, avoir eu des “relations intimes avec un jeune homme qui lui avait promis le mariage”. Elle accouche seule dans sa chambre chez ses maîtres et va “se mettre à table avec tous les membres de la famille”.
Parfois, la mère ne survit pas au drame. Un accouchement clandestin avec infanticide se termine dans le sang, rue Palluel à Embrun, en 1872. La jeune fille est retrouvée “poussant le dernier soupir dans les bras de son père”. A-t-il fait pression sur sa fille ? A-t-il assisté sa fille ? Est-il l’auteur de l’infanticide ? La justice retient la complicité et le condamne à 10 ans de travaux forcés.
►Elle préfère se jeter dans la Durance
En campagne, on peut cacher sa grossesse sous des habits plutôt larges. Mais on est aussi surveillé. La fille G… de Risoul a été accusée d’avoir en 1894 donné la vie à un enfant et de l’avoir supprimé. C’est la femme du mari fautif qui l’a dénoncée.
Certaines femmes ne supportent pas le déshonneur de passer en justice. En 1889, une veuve de 36 ans, du Petit-Puy, préfère se jeter dans la Durance. Elle laisse deux jeunes enfants.
Les infanticides ne sont pas exceptionnels, ils relèvent de la cour d’assises. Quand l’enfant né viable est retrouvé mort, mais qu’on ne peut prouver que la mort a été donnée volontairement, on parle de suppression d’enfant. C’est le délit de cacher sa maternité qui relève du tribunal correctionnel.En campagne, on peut cacher sa grossesse sous des habits plutôt larges. Mais on est aussi surveillé. La fille G… de Risoul a été accusée d’avoir en 1894 donné la vie à un enfant et de l’avoir supprimé. C’est la femme du mari fautif qui l’a dénoncée.
Certaines femmes ne supportent pas le déshonneur de passer en justice. En 1889, une veuve de 36 ans, du Petit-Puy, préfère se jeter dans la Durance. Elle laisse deux jeunes enfants.
Les infanticides ne sont pas exceptionnels, ils relèvent de la cour d’assises. Quand l’enfant né viable est retrouvé mort, mais qu’on ne peut prouver que la mort a été donnée volontairement, on parle de suppression d’enfant. C’est le délit de cacher sa maternité qui relève du tribunal correctionnel.
►Quand l’homme est complice, il est moins condamné que la femme
De toute façon, les accusées ne sont jugées que par des hommes, puisque les femmes ne peuvent être ni magistrates ni jurées. Les prévenues peuvent être condamnées à plusieurs années de prison aux assises, sauf circonstances atténuantes. Au tribunal d’instance, les peines vont du sursis à un an de prison. Quand l’homme est complice, il est moins condamné que la femme.
Élisabeth Hermitte, prévenue de suppression d’enfant, passe pourtant aux assises. Son avocat plaide la non-déclaration de la naissance d’un enfant mort-né à l’état civil. Le jury le suit. Élisabeth est libérée, après cinq mois de prison préventive.
“Une salle bondée de monde, où le sexe féminin était largement représenté, a suivi avec intérêt les débats de cette audience. Aussi, des marques d’approbation ont-elles accueilli ce dénouement ”, note le journal.
►Article paru dans LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ du Dimanche 18 février 2024 (Bernard Brabant)
Quand les grossesses finissaient en “infanticide” ou “suppression d’enfant”
Que ce soit devant une cour d’assises pour “infanticide” ou un tribunal correctionnel pour “suppression d’enfant”, l’accusée était jugée par des hommes. Dessin Bernard Brabant
Alors que l’on va inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, il est utile de rappeler ces drames qui défrayaient régulièrement la chronique, notamment au XIXe siècle.
Quand il pose un plancher au château de Picomtal des Crottes (l’ancien nom de Crots), Joachim Martin écrit au crayon ses souvenirs au dos des lattes : “En 1868, je passais à minuit devant la porte d’une écurie. J’entendis des gémissements. C’était la concubine d’un de mes grands camarades [qui] accouchait ”. Il s’agit d’un accouchement clandestin suivi d’un infanticide commis par le concubin. Ce n’est pas son premier crime, précise le menuisier : “Quatre [enfants] sont enterrés au dit écurie ”.
Ces accouchements non désirés, à la suite d’une grossesse cachée, se font souvent dans la solitude.
L’hebdomadaire de l’époque La Durance relate lui aussi ces drames. Élisabeth Hermitte est une jeune domestique de 19 ans, à Chorges. Elle avoue aux juges, en 1886, avoir eu des “relations intimes avec un jeune homme qui lui avait promis le mariage”. Elle accouche seule dans sa chambre chez ses maîtres et va “se mettre à table avec tous les membres de la famille”.
Parfois, la mère ne survit pas au drame. Un accouchement clandestin avec infanticide se termine dans le sang, rue Palluel à Embrun, en 1872. La jeune fille est retrouvée “poussant le dernier soupir dans les bras de son père”. A-t-il fait pression sur sa fille ? A-t-il assisté sa fille ? Est-il l’auteur de l’infanticide ? La justice retient la complicité et le condamne à 10 ans de travaux forcés.
►Elle préfère se jeter dans la Durance
En campagne, on peut cacher sa grossesse sous des habits plutôt larges. Mais on est aussi surveillé. La fille G… de Risoul a été accusée d’avoir en 1894 donné la vie à un enfant et de l’avoir supprimé. C’est la femme du mari fautif qui l’a dénoncée.
Certaines femmes ne supportent pas le déshonneur de passer en justice. En 1889, une veuve de 36 ans, du Petit-Puy, préfère se jeter dans la Durance. Elle laisse deux jeunes enfants.
Les infanticides ne sont pas exceptionnels, ils relèvent de la cour d’assises. Quand l’enfant né viable est retrouvé mort, mais qu’on ne peut prouver que la mort a été donnée volontairement, on parle de suppression d’enfant. C’est le délit de cacher sa maternité qui relève du tribunal correctionnel.En campagne, on peut cacher sa grossesse sous des habits plutôt larges. Mais on est aussi surveillé. La fille G… de Risoul a été accusée d’avoir en 1894 donné la vie à un enfant et de l’avoir supprimé. C’est la femme du mari fautif qui l’a dénoncée.
Certaines femmes ne supportent pas le déshonneur de passer en justice. En 1889, une veuve de 36 ans, du Petit-Puy, préfère se jeter dans la Durance. Elle laisse deux jeunes enfants.
Les infanticides ne sont pas exceptionnels, ils relèvent de la cour d’assises. Quand l’enfant né viable est retrouvé mort, mais qu’on ne peut prouver que la mort a été donnée volontairement, on parle de suppression d’enfant. C’est le délit de cacher sa maternité qui relève du tribunal correctionnel.
►Quand l’homme est complice, il est moins condamné que la femme
De toute façon, les accusées ne sont jugées que par des hommes, puisque les femmes ne peuvent être ni magistrates ni jurées. Les prévenues peuvent être condamnées à plusieurs années de prison aux assises, sauf circonstances atténuantes. Au tribunal d’instance, les peines vont du sursis à un an de prison. Quand l’homme est complice, il est moins condamné que la femme.
Élisabeth Hermitte, prévenue de suppression d’enfant, passe pourtant aux assises. Son avocat plaide la non-déclaration de la naissance d’un enfant mort-né à l’état civil. Le jury le suit. Élisabeth est libérée, après cinq mois de prison préventive.
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Les 3 dernières nouvelles
MEMOIRES DE SIEUR DE PONTIS
trois siècles d’édition de 1676 à 2018
Par Michel Baudry
Vendredi 29 mars - 18h
SALLE VAUBAN – 1ER ÉTAGE DE LA MANUTENTION
GRATUIT – SANS RÉSERVATION
L’histoire s’écrit aussi avec les femmes !
Louis de Pontis (1583-1670), un enfant du pays, entre dans la carrière militaire à l'âge de 16 ans, après avoir servi 3 rois, il se retire à Port Royal en 1653 y rencontre Pierre Thomas Du Fossé qui se charge de rédiger ces souvenirs.
Ils seront édités une première fois en 1676 soit 6 ans après sa mort, depuis cette date une vingtaine de rééditions plus ou moins modifiées ont été réalisées jusqu’à nos jours.
C’est l’histoire de ces mémoires, source précieuse d'informations sur la vie en France au XVIIe siècle et sur l'histoire de la France à cette époque, qui vous sera comptée.
Informations Lise Dhorne : Pôle Animations Culturelles : 04 92 44 30 87
MEMOIRES DE SIEUR DE PONTIS
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L’histoire s’écrit aussi avec les femmes !
Louis de Pontis (1583-1670), un enfant du pays, entre dans la carrière militaire à l'âge de 16 ans, après avoir servi 3 rois, il se retire à Port Royal en 1653 y rencontre Pierre Thomas Du Fossé qui se charge de rédiger ces souvenirs.
Ils seront édités une première fois en 1676 soit 6 ans après sa mort, depuis cette date une vingtaine de rééditions plus ou moins modifiées ont été réalisées jusqu’à nos jours.
C’est l’histoire de ces mémoires, source précieuse d'informations sur la vie en France au XVIIe siècle et sur l'histoire de la France à cette époque, qui vous sera comptée.
Informations Lise Dhorne : Pôle Animations Culturelles : 04 92 44 30 87
16 mars à l’Impro – Conférence “Au fil du temps, au fil du bois”
Samedi 16 mars à 17h
Salle de l’Impro
Bâtiment Neptune, Bvd Georges Pompidou, Gap
Accès gratuit
À la suite de son Assemblée Générale, la Société d’Études des Hautes-Alpes vous invite à la conférence :
Au fil du temps, au fil du bois
Résumé :La conférence présentera la riche collection d’outils du travail du bois, du XVIIe au XXe
siècle, acquise par la Communauté de Communes du Pays des Ecrin. Fruit de plusieurs dons importants et d’un travail constant de collecte, cette collection unique de 4000 pièces couvre tous les aspects du travail du bois. Dans un deuxième temps la conférence présentera le projet d’espace muséographique consacré au bois, aux gestes et aux outils.
Le conférencier :Jean-Lin Paul est président de l’association des Amis de l’Arbre à l’Ouvrage. Cette association apporte un soutien scientifique et technique au projet d’espace muséographique dédié à cette collection
16 mars à l’Impro – Conférence “Au fil du temps, au fil du bois”
Samedi 16 mars à 17h
Salle de l’Impro
Bâtiment Neptune, Bvd Georges Pompidou, Gap
Accès gratuit
À la suite de son Assemblée Générale, la Société d’Études des Hautes-Alpes vous invite à la conférence :
Au fil du temps, au fil du bois
Résumé :La conférence présentera la riche collection d’outils du travail du bois, du XVIIe au XXe
siècle, acquise par la Communauté de Communes du Pays des Ecrin. Fruit de plusieurs dons importants et d’un travail constant de collecte, cette collection unique de 4000 pièces couvre tous les aspects du travail du bois. Dans un deuxième temps la conférence présentera le projet d’espace muséographique consacré au bois, aux gestes et aux outils.
Le conférencier :Jean-Lin Paul est président de l’association des Amis de l’Arbre à l’Ouvrage. Cette association apporte un soutien scientifique et technique au projet d’espace muséographique dédié à cette collection
L’Association Généalogique des Hautes-Alpes fêtera ses 40 ans cette année.
Cet évènement aura lieu
le samedi 6 avril 2024 au Tempo (ex-CMCL) à Gap.
Nous disposerons d’une vingtaine de stands disponibles gratuitement, nous proposerons également une conférence sur l’escarton d’Oulx et une visite guidée de la cinémathèque de montagne (nombre limité d’inscription).
Nous serions heureux de votre participation.
Si vous êtes intéressés nous vous invitons à prendre contact avec l’association correspondance@agha.f
Stéphane Huron
Président AGHA
L’Association Généalogique des Hautes-Alpes fêtera ses 40 ans cette année.
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Nous serions heureux de votre participation.
Si vous êtes intéressés nous vous invitons à prendre contact avec l’association correspondance@agha.f
Stéphane Huron
Président AGHA
Nouveautés du site
Les mots de l’Embrunais et du Savinois :
Les mots de l’Embrunais et du Savinois :
origines et histoire, étymologies
(Jean-Marie MICHEL)
Pour retrouver les origines et étymologies de noms, tels Parpaillon, Manins, Séyères, choucas, Noiret et autres à travers les thèmes de la montagne, l’eau, les villages et lieux-dits, les activités humaines, la vie économique, la faune et la flore, etc..
►Description de l’ouvrage : 154 pages, format 21/29, couverture souple; 17,00 €.
►En vente : Librairie Charabia, place Saint-Marcellin - 05200 EMBRUN
►Zone décrite : 12 communes :
Baratier, Châteauroux-les-Alpes, Crévoux, Crots, Embrun, Les Orres, Puy-Sanières, Puy-Saint-Eusèbe, Réallon, Saint-André-d’Embrun, Saint-Sauveur, Savines-le-Lac.
►Plus de 1000 mots traités.
►Suite à des recherches chez de nombreux auteurs, j’ai essayé d’éclaircir l’origine de noms divers : montagnes, cols, torrents, lieux-dits, habitations, activités et métiers représentés localement, etc.
Je suis remonté aussi loin que possible : occitan, vieux français, latin, grec, celte et indo-européen, chaque fois que possible. Les linguistes n’apportent pas toujours des réponses convergentes, des lacunes ou interrogations subsistent, mais les hypothèses émises sont stimulantes…
(Jean-Marie-MICHEL est un embrunais, membre de notre association l'A.S.E.P.E).
Renseignements : 04 92 43 20 91. |
Les mots de l’Embrunais et du Savinois :
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(Jean-Marie MICHEL)
Pour retrouver les origines et étymologies de noms, tels Parpaillon, Manins, Séyères, choucas, Noiret et autres à travers les thèmes de la montagne, l’eau, les villages et lieux-dits, les activités humaines, la vie économique, la faune et la flore, etc..
►Description de l’ouvrage : 154 pages, format 21/29, couverture souple; 17,00 €.
►En vente : Librairie Charabia, place Saint-Marcellin - 05200 EMBRUN
►Zone décrite : 12 communes :
Baratier, Châteauroux-les-Alpes, Crévoux, Crots, Embrun, Les Orres, Puy-Sanières, Puy-Saint-Eusèbe, Réallon, Saint-André-d’Embrun, Saint-Sauveur, Savines-le-Lac.
►Plus de 1000 mots traités.
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Je suis remonté aussi loin que possible : occitan, vieux français, latin, grec, celte et indo-européen, chaque fois que possible. Les linguistes n’apportent pas toujours des réponses convergentes, des lacunes ou interrogations subsistent, mais les hypothèses émises sont stimulantes…
(Jean-Marie-MICHEL est un embrunais, membre de notre association l'A.S.E.P.E).
Renseignements : 04 92 43 20 91. |